*
De la parabole au
silence, en venir aux mains.
À cette lutte entre soi et soi.
À cette lutte entre soi et soi.
Entre dedans et
dehors, fermer toute possibilité d’errance.
Elle, entre ses
draps qui ne verront plus le jour.
Une autre,
peut-être moi, face à ce dit de la mort.
Donner l’ordre à
tous les navires qui ont pris la mer de jeter l’ancre.
À tous les déserts
d’avancer sur les terres fertiles, de limoger la vie.
Si l’eau coule
encore entre les guerres, le pont oublie le fleuve.
Le babil des
enfants ne peut assouvir leur faim. Il se tait.
L’homme et le loup
meurent inutilement.
Sans lanterne, la
nuit éponge l’ombre qui éponge la nuit.
Les fougères et les
chênaies austères forment une paroi
que les flammes agressent dans la torpeur de l’été.
que les flammes agressent dans la torpeur de l’été.
L’humanité a perdu
la vue.
Le goût, le toucher
ne sont que cendres.
Certains se
masturbent derrière un arbre pour ne plus
rien entendre de ce qui se dit.
rien entendre de ce qui se dit.
*
Dalla
parabola al silenzio, fino ad andare alle mani.
A questa lotta tra sé e sé.
A questa lotta tra sé e sé.
Tra
dentro e fuori, chiudere ogni possibilità d’erranza.
Lei,
tra le sue lenzuola che non vedranno più il giorno.
Un’altra
forse io di fronte a questo detto della morte.
Dare
l’ordine a tutte le navi che hanno salpato il mare di gettare l’ancora.
A
tutti i deserti di avanzare sulle terre fertili, di silurare la vita.
Se
l’acqua scorre ancora tra le guerre, il ponte dimentica il fiume.
Il
chiacchiericcio dei bambini non può placare la loro fame. Esso tace.
L’uomo
e il lupo muoiono inutilmente.
Senza
lanterna, la notte prosciuga l’ombra che prosciuga la notte.
Le
felci e gli austeri querceti formano una parete
che le fiamme aggrediscono nel torpore dell’estate.
che le fiamme aggrediscono nel torpore dell’estate.
L’umanità
si è accecata.
Il
gusto, il tatto, solo cenere ormai.
Alcuni
si masturbano dietro un albero per non più
sentire ciò che si dice.
sentire ciò che si dice.
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