Louis Brauquier, un poète de grand large
J’aime les grands cargos arrêtés dans les rades,
Qui ne se mêlent pas à la vie de la ville
Et libèrent le soir des marins éperdus
Et libèrent le soir des marins éperdus
Il faudra bien qu'un jour j'étouffe le nomade,
Mais au coin de quel quai et dans quel port de mer,
Dans quelle rue où les fanaux seront témoins,
Sur le seuil de quel bar, écœuré d'exotisme,
Aurai-je assez de force et le goût de tuer ?
Mais au coin de quel quai et dans quel port de mer,
Dans quelle rue où les fanaux seront témoins,
Sur le seuil de quel bar, écœuré d'exotisme,
Aurai-je assez de force et le goût de tuer ?
*°*°*°*
.Amo
i gran cargo fermi nelle rade,
Che non si mescolano con la vita della città
E liberano la sera marinai sperduti
Bisognerà pure che un giorno io soffochi
il nomade,
Ma all’angolo di quale banchina e in
quale porto di mare,
In quale via ove i fanali saranno
testimoni,
Sulla soglia di quale bar,nauseato
d’esotismo,
avrò abbastanza forza e il gusto
d’uccidere?
la Table Ronde .2000.,
Nessun commento:
Posta un commento